Mémoires du Périgord

Avec les « anciens » part toute un pan de mémoire du Périgord. Enregistrons leur parole, et celles de leurs enfants, de leurs petits-enfants !
Alors que portables et selfies se déchainent dès qu’il se passe un peu quelque chose de personnel, rien ou presque n’est fait pour utiliser ces moyens, ces outils libres et pratiques, pour constituer une mémoire collective.

Love Périgord, et le projet Love France en général, souhaite donner du sens à la vie d’aujourd’hui en la rattachant à la connaissance, à la compréhension des humains, des sociétés, des cultures locales… La relation à la nature, tout aussi importante pour notre magazine, et la quête du bien-être, s’inscrivent de la même façon à la fois dans la recherche individuelle et dans ce qui fait le lien, le commun.

Nous partons donc à la rencontre de cette mémoire en Périgord, réalisons des interviews, de la recherche d’archives, notamment sonores.
Nous souhaitons aussi, au travers des réseaux (qui sont si peu sociaux) encourager le recueil, la diffusion, et tout simplement la création de cette mémoire. Combien d’événements, de spectacles, de rencontres, d’échanges, d’activités, dont nous pourrions faire notre miel, et qui restent sur les téléphones pour être montrés à quelques proches… Entendons-nous bien. C’est comme la photographie depuis Nicéphore Nièpce (en 1816) : elle ne recueille pas le réel, elle ne l’enregistre pas, elle est création, choix subjectif, lumière. Même si pour Roland Barthes elle atteste que ceci, que je vois, a été là. Il s’agit bien, alors, pour nous, pour vous, d’attester.
A l’heure où les préhistoriens font parler l’ADN ancien, il serait dommage de laisser à leurs seuls successeurs des traces et des preuves de notre humaine présence ! A l’heure où tout est devenu marketing, pourquoi ne pas avoir un regard authentique, simplement humain, positif, admiratif, pour tout ce qui est entrepris et prodigue du sens ?

C’est un autre rapport au monde et à la vie qui est en jeu, celui du temps long, du temps de vivre et de comprendre, d’observer et d’aimer, d’entrer en relation. C’est le sens du mouvement SLOW.

Les entreprises, les artisans, les associations, les institutions… peuvent être présentés dans le magazine au travers de publi-reportages. Car ils ont une histoire à nous raconter. C’est toujours du sens que nous souhaitons contribuer à créer et diffuser. C’est vivre des expériences, des rencontres, des moments qui ont du sens que viennent chercher les touristes en Périgord. Pas tous, peut-être, mais bon nombre, car il n’échappe à personne que le Périgord offre un TOUT, un ensemble d’éléments reliés les uns aux autres : les traces de l’histoire, de l’habitation humaine sur son sol, et leur ambiance, leur parfum ; ses paysages, ses habitants avec leur accueil, aussi leurs nombreuses initiatives et créations (les jardins, et plus), ses produits fermiers et son goût du goût, sa nature et son foisonnement, son eau…

 

 

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Régine Laprade : le Périgord Noir

 

 

 

Memoirs of Périgord With the “old ones” goes an entire part of Périgord’s memory. Let us record their words, as well as those of their children and grandchildren! While cell phones and selfies are unleashed as soon as something even slightly personal happens, little or nothing is done to use these means, these free and practical tools, to build a collective memory.

Love Périgord, and the Love France project in general, seeks to give meaning to today’s life by linking it to knowledge, understanding of humans, societies, local cultures… The relationship with nature, which is just as important for our magazine, and the quest for well-being, are similarly both part of individual research and what makes the link, the common.

We therefore set out to meet this memory in Périgord, conduct interviews, research archives, including sound ones. We also wish, through networks (which are so unsocial), to encourage the collection, dissemination, and simply the creation of this memory. How many events, shows, meetings, exchanges, activities, which we could make our own, remain on phones to be shown to a few close ones… Let us be clear. It is like photography since Nicéphore Nièpce (in 1816): it does not collect the real, it does not record it, it is creation, subjective choice, light. Even if for Roland Barthes it attests that this, which I see, was there. It is indeed a matter for us, for you, to attest. At a time when prehistorians are using ancient DNA, it would be a shame to leave only traces and evidence of our human presence to their successors! At a time when everything has become marketing, why not have an authentic, simply human, positive, admiring view of everything that is undertaken and gives meaning?

It is another relationship to the world and life that is at stake, that of the long term, the time to live and understand, to observe and love, to enter into a relationship. It is the meaning of the SLOW movement.

Enterprises, craftsmen, associations, institutions… can be presented in the magazine through advertorials. Because they have a story to tell us. It is always meaning that we wish to contribute to creating and disseminating. It is living experiences, encounters, moments that have meaning that tourists come to seek in Périgord. Perhaps not all of them, but many, because it is no secret that Périgord offers a WHOLE, a set of elements linked to each other: the traces of history, of human habitation on its soil, and their atmosphere, their scent; its landscapes, its inhabitants with their welcome, also their many initiatives and creations (gardens, and more), its farm products and its taste for taste, its nature and its profusion, its water…

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